Volârc était à l'Artère sans arêtes, assis, sur une grosse caisse, et réflechissait. Fallait-il laisser tomber l'Ordre ? Faisait-il le bon choix ? Etait-il prêt à porter ce fardeau ... ? Non. Non. Il ne pouvait pas. Il cloua une lettre sur le porte-affiche du repaire steamulant.
Chers pirates.
Ceci est la deuxième lettre que je vous écris. Mais cette fois-ci, sachant ce que je fais, je suis sûr que je ne regretterai rien. La piraterie, c'est pour moi, et le mercenariat ... Je laisse tomber. Je vous avais déjà rejoint, il y a deux ou trois jours. Mais je suis parti. Oui, je suis parti, car je ne savais pas encore ce que je voulais. Mais là, j'en suis certain. Oh oui certain. Mon avenir est parmi vous. L'aventure, la liberté, la rigolade, la camaraderie et l'esprit d'équipe, rien ne me tente plus que ça.
Veuillez, messieurs et mesdames, accepter mes salutations les plus distinguées.
Volârc.